Tutoriel 5: L’assurance anti-nuisibles

Une interdiction des pesticides nuit aux agriculteurs ?
Les pesticides nuisent à la population.
Quand deux se disputent, la troisième se réjoui.

Une assurance contre les nuisibles
 « Les agriculteurs ont besoin des pesticides pour assurer leurs récoltes et leurs revenus ».
Mais pourquoi devraient-ils assurer leur revenu avec des toxines nocives pour leur santé?
Les revenus des agriculteurs pourraient être garantis par une assurance contre les parasites: Les pertes dues aux papillons, moisissures et autres parasites naturels seraient remboursées par l’État, tout comme les dommages causés par les lynx, les loups, les ours et le gel tardive..
Mais une telle assurance serait trop coûteuse? Ce serait le moyen le moins cher, le plus simple et le plus efficace de réduire les maladies de la civilisation. Les aliments contaminés par des pesticides sont la méthode la plus stupide d’économiser, les thérapies contre le cancer sont très chères et les chances de guérison minces.

Le tabou de l’agriculture : A quoi sert l’industrie des pesticides ?
Que sait-elle faire que les paysans ne peuvent pas faire?
Pour produire de la nourriture, il faut des terres, de la pluie, des semences, d’engrais (verts), des machines, des Paysans et leur savoir-faire. Rien de plus.
 « Et des pesticides pour protéger les champs? » Les pesticides ne résolvent pas les problèmes, ils ne font que les aggraver.
Avec la meilleure pratique professionnelle, il n’y a guère de vrais problèmes. L‘investissements le plus rentable est toujours le savoir-faire.
Le seul véritable manque dans l’agriculture est le manque d’appréciation des vrais experts en la matière : Avec ses projections d‘une nature malfaisante et de paysans incompétents, l’industrie chimique a réussi à nier aux seuls producteurs nécessaires toute compétence professionnelle et même le droit à l’existence.

Une assurance contre les nuisibles au lieu de pesticides, c’est comme des bosses de vitesse au lieu de pièges radar: Intelligent au lieu de techno-overdrive.

Les hyper-parasites
Les agriculteurs n’ont pas besoin de pesticides. Ils ont besoin d’un revenu sûr et équitable. L’assurance antiparasitaire est une solution gagnante-gagnante pour tous: Les agriculteurs, les consommateurs et l’environnement.
Sauf pour les industries chimiques. Mais les dégâts qu’ils causent sont infiniment pires que les modestes pertes de rendement causées par les coléoptères, les papillons et les champignons.
Le seul véritable problème de l’agriculture est le leadership technique intouchable de la chimie du poison sur la production alimentaire.
Nous ne pouvons pas nous permettre les agriculteurs, mais bien une industrie superflue des pesticides ? Ceci n’est pas une contrainte mais plutôt une stratégie de népotisme.
La politique agricole confie le leadership (technique) du secteur agricole à l’industrie des toxins, et ordonne une élimination des petits paysans. Car nous ne pouvons pas nous permettre d’offrir des salaires équitables aux agriculteurs, et encore moins une alimentation saine. Mais uniquement une industrie des pesticides gigantesque et superflue, les primes et profits astronomiques de ses dirigeants et des investisseurs de la ChemChina, et les coûts énormes des maladies de la civilisation.
L’industrie des pesticides est un parasite superflu, avec les propriétés typiques des parasites: Ils sont incapables de se nourrir par eux-mêmes, ils doivent usurper le travail des autres.

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Mieux payer les dégâts des ours, loups et papillons, que ceux de l’industrie du poison.

Ceux qui craignent la nature n’ont pas la main verte. Mais des problèmes.

Qui a peur des chevaux, ne gagnera jamais une course.

Une assurance contre les nuisibles ? Comment détecter une infestation de nuisibles correctement et à peu de frais?
Avec un concours : La meilleure app antiparasitaires ? (Image complète de l’infestation centrale et image agrandie)puis cinq photos supplémentaires, chacune à cinq mètres de distance, en ligne droite à travers le champ, toutes les photos avec GPS automatique et dates.
Veuillez envoyer vos suggestions à l’OFAG. Vu qu’il rejettera une solution aussi efficace et rapide au problème…..des sites ou groupes volontaires pourrait choisir le gagnant du concours afin d’essayer d’aider l’OFAG gratuitement, rapidement et efficacement à protéger la population

Le sauvetage du climat: Plan A

Sauver le climat – une utopie?
La politique négocie le degré de destruction du climat.
Le discours climatique devrait se dérouler sur le niveau qui lui est dû: Mais il n’ existe aucun concept qui évoque de la confiance, voire même de l’enthousiasme. 

Le sabotage du sauvetage
Le climat est malade et va consulter un médecin. Qui lui cache les thérapies les plus efficaces en les submergeant dans des terminologies incompréhensibles et interminables. Jusqu’à ce que notre pauvre patient accepte tristement qu’il n’y a plus d’espoir. 
La protection du climat ne fonctionne pas parce que …
on ne se demande pas assez pourquoi.
et qu’on ne connait pas les méthodes les plus efficaces.

Plan A : La protection mondiale des forêts
Selon les sciences naturelles, sauver le climat est facile. 
Jusqu’à 24 millions d’hectares de forêts sont détruits chaque année, surtout des forêts vierges tropicales qui contiennent jusqu’à 500 tonnes de carbone par hectare.
Une interdiction mondiale de la destruction des forêts permettrait d’économiser plus de 8 Gt C par an.
 (= 8 Gigatonnes = 8 milliards de tonnes de carbone = 30 Gt CO2).
L’augmentation annuelle de l’atmosphère est de 5 Gt C. (= 18,5 Gt CO2).
Une loi mondiale qui interdit la destruction des forêts peut a elle seule stopper le réchauffement climatique.

Les forêts – un facteur clé
Ce serait si simple de sauver l’avenir ?
Le concept «biomasse au lieu de CO2» a été ratifié de la plupart des pays, et ensuite… oublié.
L’utilisation des terres est un facteur climatique qui a été éliminé de la discussion.
De qui? De ces groupes qui rejetteront toute protection globale des forêts.
Le catalogue de leurs prétextes:
• « Nous avons besoin de terres pour produire »… des steaks XXL.
• « Nous avons besoin de terres pour les biocarburants pour »… des voitures XXL
• « La protection des forêts ne peut être contrôlée! » Grace aux satellites et l’informatique toute déforestation peut être détectée.
• « Mais les pauvres gens !? » L’agroforesterie, les jardins forestiers tropicaux traditionnels, procure un revenu par hectare bien supérieur à celui de l’élevage ou du soja.
• « Mais les pays en développement !? » La coalition des « rainforest nations » aurait acceptée déjà jadis une telle loi dans le cadre de compensations appropriées, comme une annulation de leurs dettes.

La question cruciale
 « Les lois ne devraient pas servir à la protection des forêts et du climat!?»
Une voiture mal garé risque une amende.
La mise en danger du climat et de l’humanité par contre n’est pas interdite.
S’il n’y a pas de volonté, il n’y a pas de solution. La protection mondiale des forêts est une question cruciale, qui dévoile les priorités des engagements. Et le Greenwash.
Il est grand temps que la politique admette, qu’un « droit au profit » n’existe pas. Par contre le droit à la vie des générations futures est un droit de l’homme.
La teneur de CO2 dans l’atmosphère a augmenté d’un tiers depuis le début de l’industrialisation, l’augmentation annuelle actuelle de 5 Gt C est dramatique.

Conflit d’intérêt
Pourquoi le GIEC calcule-t-il en pg, en péta-gramme ? Un pétagramme correspond à un billion de grammes, soit 1 000 000 000 000 de grammes, voire 1 quadrillion de grammes en anglais. Pourquoi les calculs à l’échelle d’une planète, des quantités énormes, sont-ils calculés en grammes ?
1 Pg =1 Gt:  1 pétagramme = 1 gigatonne, 1 milliard de tonnes, une formulation bien plus compréhensible.
Il est naïf de supposer que les pyromanes/industries fossiles tout-puissants ne cherchent pas à s’approprier au maximum les pompiers/IPCC.
Dans les rapports agricoles du GIEC, l’agriculture biologique n’existe pas, ni ses excellents bilans climatiques. Malgré les effets climatiques dévastateurs de l’agriculture industrielle, ils propagent la „protection“ du climat par les pesticides, OGM, engrais chimiques et irrigation artificielle.