Tutoriel 8 La prise de contrôle de l’espoir par le « conflit d’intérêt ».

Le sabotage du dernier kilomètre
Avec tout ces flux financiers pour une industrie agricole superflue, on aurait pu financer un paradis sur terre pour tous.
Mais les créateurs de problèmes ont toujours réussi à se faire confier le rôle de leader dans la lutte contre leurs propres stratégies commerciales lucratives.
À la fin du siècle dernier, les populations et parlements de nombreux pays ont opté pour un revirement éco-agricole. Ce qui menaçait les ventes de l’industrie des pesticides et même leur existence. Elles refusèrent de se convertir, au lieu de déposer gentiment la faillite, elles investirent dans le népotisme. Les ministères de l’agriculture, soumis à ce lobbying massif, utilisèrent leur leadership écolo et bio pour des stratégies discrets mais hyper-efficaces de sabotage de l’écologie.

Le rollback industriel

Le ministère de l’Agriculture suisse essaya de consolider une liquidation discrète de l’écologie: «Le principe de compensation économique de la performance écologique sera abandonné» car «la confrontation actuelle entre l’environnement et l’économie doit être résolue ». (Document interne du ministère)
Un revirement agricole? Quel revirement? Depuis l’introduction de la IP et de ses exigences écologiques, les quantités de pesticides et les maladies de civilisation n’ont pas diminuées.
Les ministères de l’agriculture n’ont que su réduire les exigences écologiques: Ils se sont surtout engagés à la non-application de toutes les réglementations qui imposeraient une réduction des quantités de pesticides. Son renoncement stricte de toute vérification des seuils de dommages est un sabotage délibéré et fatal de cet instrument centrale capable de baisser une contamination des aliments. Le ministère de l’Agriculture viole délibérément et probablement illégalement son devoir de surveillance.
Au lieu de contrôler le respect des exigences des paiements directs et de ses propres lois qui sont censé de protéger la santé publique, il confie la vente de milliers de tonnes de toxines mortelles aux recommandations suggestives de l’industrie de pesticides.
Avec ce clientélisme, le ministère de l’Agriculture se fait co-responsable des maladies mortelles d’empoisonnement qui touchent la moitié de la population. L’industrie agricole anéantit tous les succès et lois écologiques durement acquis par les idéalistes, avant même qu’ils ne prouvent qu’une vie sans pesticides est tout à fait possible.
Les meilleures lois ne sont d’aucune utilité si les autorités ont « un droit » de les saboter.

La stratégie clé: Le « conflit d’intérêts »

Le lobbying est la légalisation de la corruption et son institutionnalisation.
Un laissez-faire pour les industries toxiques, garanti par le gouvernement. Et de son déclassement de la recherche agricole de l’État en une agence publicitaire des pesticides. Dorénavant sa compétence est la déformation des faits et la prétention de contraintes fictives à base de manipulations méthodologiques scientifiquement interdites.
Et la conception d’instructions agricoles néfastes engendrant un maximum de problèmes qui prouvent que la nature serait dangereuse et destructive, permettant ainsi une optimisation des ventes de pesticides, décorée d’un Greenwash écolo.


Un renforcement des instruments de protection

Un piège ne fonctionne que si nous ne voyons pas les voies d’issues. Et les alliés.
Toute enquête sur les «conflits d’intérêts» au sein des autorités est normalement taboue, une garantie que intoxication de la population et la déstabilisation du climat vont s’aggraver.
La corruption prospère dans l’obscurité, et dépérit sous les projecteurs des médias.
La science et la justice sont les instruments de la vérité. Et les talons d’Achille du clientelisme : Car les violations manifestes de la loi permettent un empowerment et une restitution du pouvoir de ces instances de protection.
Le précédent idéal sont les paiements pour une « protection de ressources » scientifiquement inexistante et donc frauduleux du semis direct au glyphosate avec ses quantités record de pesticides cancérigènes.
L’économie utilise la science comme agence publicitaire, mais cet instrument ne se prête pas vraiment aux manipulations frauduleuses, car elle est top bien capable de les prouver.
Les supercheries sont des patchworks délabrés : Le népotisme, plus il est intouchable, plus il se fiche du contrôle et de la coordination de ses équipes, et s’empêtre de plus en plus profondément dans son tissue de mensonges et de tromperies.

La prise de contrôle ennemi de l’espoir

Dans les systèmes si complexes que l’agriculture, la bonne volonté seule ne suffit pas pour une gérance optimale: L’amour du violon ne suffit pas à savoir les jouer, d’autant plus si c’est toujours celui-ci qui serait responsable des discordances.
Le lobbying agricole utilise le manque de connaissances spécifiques des idéalistes pour ses stratégies d’escalade: Risques augmentés des sécheresses – guerre de l’eau ! Au lieu utiliser les résidus agricoles : Le paillis empêche l’évaporation, sauve les récoltes et il sert d’engrais gratuit.
Mais la biotechnologie promet de développer des variétés adaptés au changement climatique? A quoi bon ? Il suffit d’acheter des graines dans les région voisine plus sèches ou plus chaudes. Le changement climatique ne crée pas de températures et précipitations »innovantes » il les déplace uniquement.
Politique et industrie agricole ne propose que des solutions absurdes.
Il est bien temps que les fictions industrielles et ses contes de fées urbains soient remplaces par des faits

Tutoriel 7: La pandémie de cancer – calamité, dommages collatéral, peccadille ou crime capital?

Le mur du silence

Les toxines tuent dans chaque famille.
Une personne sur deux est ou sera atteinte d un cancer.
C’est la preuve scientifiquement incontestable que les valeurs limites et l’exposition aux toxines sont bien trop élevées.
Cependant, les autorités ne basent les valeurs limites pas sur le taux de mortalité:
Les maladies de la civilisation ne sont ni des calamités, ni des cas de force majeure Et ni des dommages collatéraux inévitables qu’il faut accepter, parce qu’ils sont définis comme des maladies de vieillesse.

Killing fields: Les structures de l’irresponsabilité

Le Conseil fédéral rejette les initiatives contre les pesticides, estimant que la protection de la santé publique ne peut pas être ordonnée au détriment de l’industrie chimique. Selon le gouvernement cet empoisonnement général institutionnalisé est une peccadille. Comme les stationnements incorrects, qui ceux-ci au moins risques des amendes.
La non-assistance à personnes en danger est une infraction punissable dans la circulation routière. Les mettant délibérément en danger l’est encore plus.
Les poisons ne sont pas indispensables. Bien que les gouvernements nous suggèrent qu’ils sont vitaux, ou du moins bien plus importants que la vie et la santé de la population. Ils simulent des contraintes fictives pour autoriser des substances toxiques, qui enclenchent des maladies de civilisations tuant environ la moitié de la population.
Le cancer n’est pas une pandémie? Parce que ce mot est d’origine grecque, et désigne une maladie qui affecte « le peuple (demos) tout entier (pan) » et qu’à cette époque-la, c’était encore interdit d’empoisonner le peuple.

Bronco, Fluxapyroxad est probablement cancerogene (ECHA, European Chemical Agency)

La banalité du mal

Une personne sur deux sur cette planète a peur de la famine, et une personne sur deux a ou aura peur de son cancer–et ce bilan légitime le leadership agricole de l’industrie chimique? Elle mérite bien ce rôle car elle est la seule a savoir développer de nouveau pesticide toxiques pour chaque pesticide interdit?

Ce n’est pas l’industrie des pesticides qui est responsable de l’étendue dévastatrice des maladies de la civilisation, car l’empoisonnement général empêche d’attribuer l’origine des dégâts ?
 « Pas nous, mais les autres aussi ? »

On ne peut interdire les pesticides car d’autres poisons nuisent également à la santé, il faudrait donc interdire tous les poisons !?
Une idée excellente.
Les substances cancérogènes ou suspectées de l’être doivent faire l’objet d’une autorisation, qui devrait être accordée que si « les bénéfices socio-économiques l’emportent sur les risques pour l’homme et l’environnement et s’il n’existe pas de substances ou de technologies alternatives appropriées ». Ces directives de l’OMS devraient s’appliquer à tous les poisons. Ce serait également la thérapie la plus efficace et la moins chère contre les maladies de la civilisation : Cesser d’empoisonner les gens.

Le business du risque
La fin de l’ère de la chimie et sa stratégie de mise en danger n’est pas en vue.
Bien que certains des pesticides les plus toxiques perdent leur approbation, ils sont immédiatement remplacés par d’autres. Qui après de nombreuses années d’engagement des ONG perdront leur approbation, une stratégie paralysant les forces idéalistes.
La protection de la santé publique n’a jamais été un objectif de l’OFAG. Les ministères de l’agriculture s’opposent même à toute définition d’écologie qui signifie qu’ils devraient cesser de mettre en danger la population avec leurs pesticides. Malgré le revirement écologique de l’agriculture ordonné par le parlement à la fin du millénaire, les quantités de pesticides utilisées ne sont pas considérées comme un indicateur du progrès écologique.
Au lieu de cela, l’OFAG se vante des engagements d’autrui, d’une légère diminution des quantités de pesticides, grâce au abandon du glyphosate dans des secteurs non-agricoles.

Les stratégies professionnelles de dissimulation

La science a pu imprimer des étiquettes d’avertissement sur les emballages des pesticides, mais pas sur les aliments pour lesquels ils sont achetés. Les autorités agricoles et leurs lobbyistes dissimulent le lien de causalité entre les pesticides et les décès massifs par une série de machinations scandaleuses :
La responsabilité de la non-toxicité des aliments est assurée par… l’Office du bétail, ou l’Administration fédérale de la sécurité alimentaire et des services vétérinaires. Il est inutile d’essayer de dissimuler cet aveu du mépris de la population.
L’Office fédéral de la santé publique n’a pas le droit d’intervenir dans les risques sanitaires causés par les pesticides, même si ceux-ci contribuent à la majorité des maladies.
En conséquence, plus la contamination toxique est élevée, plus les contrôles sont rudimentaires : Ainsi il n’y a pas de tests de résidus prévus pour la viande, bien que les poisons s’accumulent au cours de la chaîne alimentaire.

Des tomates sur les yeux

Sur les yeux de la jeune fille, sur les sacs en plastique d’une entreprise de pesticides allemande, se trouvent… des tomates. Ils peuvent se le permettre, c’est ce qu’ils pensent des consommateurs. En allemand « des tomates sur les yeux » signifie une nativité excessive.
Environ un kilo de pesticides est utilisé par personne et par an. (Une grande partie à l’étranger pour la production de viande).
Ceci est malade. Ceci rend malade. Sur ce 1 kg de pesticides à la puissance de l’arsenic ou du cyanure, plus de 99 % ne devraient pas se retrouver dans les aliments, car ce serait mortel.

« Chimio » ou bio ?

Une interdiction des pesticides est trop coûteuse ?
 « Cancer et Cie sont un risque, que nous pouvons nous épargner. »
Sans pesticides, la nourriture serait trop chère? Dans le passé, nous pouvions encore nous permettre une alimentation saine? Mais plus maintenant, nous vivons dans la civilisation la plus riche qui ait jamais existée, et nous ne pouvons pas nous permettre le luxe de la santé? Nous avons d’autres priorités, comme des primes d’assurance maladie de plus en plus exorbitantes.
Les financiers du secteur alimentaire sont les consommateurs. Si les personnes qui peuvent se le permettre, achètent des aliments bio une alimentation saine devient abordable pour tous. Le bio est principalement plus cher parce que les quantités commercialisées sont plus petites, la production elle-même peut même couter moins chères. (->tutoriel 6)

Le contrôle de la peur

La politique économique définit ce dont nous pouvons avoir peur : Des dangers naturels, mais pas des dangers industriels, bien plus dévastateurs.

Pour protéger la santé de la population, elle ordonné l’enferme de milliards d’innocents à des mois d’assignation à résidence, même les enfants sont traités comme des criminels condamnés.

Fermer les industries du poison qui tuent une personne sur deux serait bien plus efficace, juste et bon marché. Les industries de pesticides et pharmaceutiques savent se procurer un mur de silence écrasant.

Une bulle d’investissement toxique

Les preuves scientifiques des effets protecteurs des pesticides sont incorrectes ou manquantes. Le gaspillage alimentaire est bien supérieur à la différence entre bio et conventionnel. Les industries des pesticides ne peuvent légitimer ni leur utilité, ni leur nécessité, ni leur raison d’être. Et encore moins leur leadership agricole.
Se sont des imposteurs qui utilisent l’agriculture comme substrat pour ses poisons inutiles mais très lucratifs pour ses départements pharmaceutiques.
Avec l’évocation de fausses prémisses, de contraintes fictives, d’extrapolations inadmissibles et d’un manque de transparence, les ministères de l’agriculture continuent à optimiser les problèmes agricoles et les ventes de pesticides, les maladies de civilisation et  les ventes de produits pharmaceutiques.

Un pacte mortel

La politique économique définit ce dont nous pouvons avoir peur : Des dangers naturels, mais pas des dangers industriels, bien plus dévastateurs.
Pour protéger la santé de la population, elle ordonné l’enferme de milliards d’innocents à des mois d’assignation à résidence, même les enfants sont traités comme des criminels condamnés.

Fermer les industries du poison qui tuent une personne sur deux serait bien plus efficace, juste et bon marché. Les industries savent se procurer un mur de silence écrasant. Les ministères se portent garants, en toute connaissance de cause, d’une augmentation lucrative des dangers industriels : L’empoisonnement général et l’effondrement du climat.

Tutoriel 6: Bio et moine chers qu‘industriel

L’expertise agricole

Les problèmes sont résolus par le savoir-faire.
Le know-how est l’investissement le plus rentable, surtout en agriculture.
Les dégâts agricoles sont causés par une nature dangereuse et des agriculteurs maladroits ?
La nature n’est jamais le problème, la nature est le système : Les avions qui ne respectent pas les lois de la nature ne volent pas.
L’ampleur des problèmes ne reflété que l’étendue de l’incompétence, ­ ou de la tromperie.
Dans l’économie, seul le meilleur compte, les échecs sont éliminés. La politique agricole fait l’inverse, elle confie la production de notre aliments au savoir-faire de l’expert scientifique compétent: L’industrie des poisons.

L’écologie le mode d’emploi de la nature
Cependant, l’expert scientifique de la gérance des systèmes vivants (de production) est l’écologie. La politique agricole la disqualifie comme un facteur de coût gênant, mais ce n’est que le cas si le critère décisif de réussite manque : Le savoir-faire.
Le tour de force du lobbying industriel est la perception déformée de la performance réelle des systèmes agricoles : Les meilleures méthodes d’agriculture biologique produisent autant, plus rentable ou même moins chère que les méthodes industrielles, elles permettent une transition élégante vers le bio.
Le transfert de connaissances de ces méthodes n’a jamais eu lieu, il a été contrecarré par le dogme industriel selon lequel le respect des lois de la nature n’était pas rentable, ne serait-ce que dans le secteur agricole.
Le bio est un marché en expansion. Si les pesticides étaient supprimés à l’échelle nationale, l’agriculture suisse pourrait s’imposer comme un leader mondial du bio et comme une lueur d’espoir.

Les contrôles anciens des mauvaises herbes
Le seul véritable problème de l’agriculture est la suppression d’un concurrent très fort et tenace : les plantes sauvages.
Le savoir-faire minimise la charge de travail, il y a 6000 ans, une méthode a été mise au point, qui produit encore aujourd’hui (bio et) moins cher qu’industrielle: Les fruits de l’agroforesterie tropicale ne sont que récoltés et commercialisés, contrairement aux plantations industrielles, ils ne nécessitent aucun soin, les plantes sauvages dépérissent à l’ombre des arbres, la biodiversité élimine les parasites potentiels.
Dans le passé, sans les machines, les gens devaient encore utiliser leur cerveau: Le chef d’œuvre des paysans malins est le riz, bien que son ingéniosité n’est plus appréciée : Les barrages ne sont pas construits parce que le riz a besoin de tant d’humidité, le riz de montagne est cultivé avec succès sur des pentes. Le concept agricole fonctionne à l’inverse : Le riz survit dans l’eau stagnante, mais la concurrence sauvage est noyée    un désherbage d’une élégance inégalée.
Il n’existe que quelques systèmes agricoles dans le monde qui s’intègrent si parfaitement dans les processus naturels de façon que la nature fasse l’essentiel du travail.

Le « ms rustique »
Les machines modernes permettent la méthode la plus rentable au monde pour le maïs, elle est bio et ne nécessite qu’un minimum de travail. Et, à différence de la Milpa, son prédécesseur antique, la culture maïs-haricot-citrouille, de même bio et zéro-travail, elle est adaptée aux machines.
L’astuce est simple : Bien sûr, ce n’est pas le maïs qui est « rustique », mais sa partenaire, la vesce rustique ou hirsute, un engrais vert commercial.
Au printemps, en début de floraison des vesces, le semoir fore le maïs, puis les fleurs sont fauchées pour empêcher la formation de graines et la repousse. Ensuite, quelque mois plus tard – la récolte du maïs.
La préparation du lit de semence, la fertilisation, l’irrigation et le contrôle des mauvaises herbes (ou même des insectes ou maladies) sont superflues, les vesces ou plutôt sa paille s’en chargent. Cette minimisation de travail est élégante, et en plus,  tolérante à la sécheresse.
(Les semoirs, les méga-machines modernes entaillent le terre avec leurs mini-socs de charrue, les graines y sont déposées, le sol refermé, le tout en un seul passage, sans travail du sol. Quand on fauche les vesces fleurissant ou les presse par terre, elles ne repoussent plus. Comme le sol n’a pas été labouré, les graines des plantes sauvages en dormance dans la terre ne germent pas. En culture dense la vesce supprime les plantes sauvages, son paillage est un engrais optimal et une protection contre l’évaporation).

previous arrow
next arrow
Slider

.

.

La reconquête de la terre: Recherche paysanne et transmission du savoir-faire
Si l’informatique avait progressé au même rythme que l’agriculture, nous serions encore en train de calculer avec nos doigts, les ordinateurs ont été conçus dans des garages.
Pourquoi les agronomes n’ont-ils jamais transmis les méthodes les plus rentables ? Parce que la recherche agricole ne veut pas interférer dans les intérêts d’une industrie agricole inutile, mais puissante ?
Les méthodes les plus efficaces doivent enfin être connues et utilisées: La transmission du savoir-faire est ainsi ouverte sur ce site science-thriller.org.
Pour une recherche et un progrès agricoles efficaces, il ne faut pas grand chose : Des experts avérés, c’est-à-dire des paysans expérimentés, et un peu de coordination et de transfert des résultats des essaies, et une approche de recherche ingénieuse : La vesce hirsute est une excellente nourrice et culture précédente pour le maïs – cette astuce pourrait également fonctionner pour d’autres cultures: Tournesol, orge de printemps, peut-être même avoine ou pommes de terre ?
« Pour pouvoir juger, il faut essayer » : En automne, les agriculteurs intéressés plantent de la vesce hirsute sur un petit champ d’essai, et au printemps ils y sèment les charges restantes de maïs, et d’autres cultures d’été avec le semoir, la vesce doit ensuite être fauchée.
Et ce qui pousse bien, est un progrès agricole! Qui peut être vérifié sur des champs plus grands.
La coordination de la recherche et le transfert des connaissances peuvent être effectués rapidement et efficacement via ce site Web: Des déjeuners fermiers, suivis d’un échange d’idées et des visites des champs d’essai. Et une publication multilingue afin que les réussites soient mises à la disposition de tous les agriculteurs gratuitement et rapidement, et qu’elles répondent également à toutes les exigences agricoles et scientifiques.

L’industrie agricole fait penser à un char géant roulant dans les rues. S’il avait le moindre intérêt pour ce qui se passe, il remarquerait qu’il progresserait beaucoup plus vite sur la voie de droite.
Au lieu de cela, l’industrie se concentre a développer des machines de plus en plus énormes afin d’aplatir de plus en plus efficacement tout trafic venant en sens inverse.